I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander
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Elizabeth Steele
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Sujet: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Ven 16 Aoû - 22:16
I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me
Elizabeth & Alexander
Août 2019, maison d'Alexander & Elizabeth,
Le concert était une véritable une véritable bouffée d’air frais. C’était exactement ce dont j’avais besoin malgré l’engueulade mémorable que je risquais de recevoir d’ici quelques minutes. Mes yeux planqués derrière les lunettes de soleil et mon chapeau d’été, je marchais doucement, à côté de l’agent Harrigton qui semblait bouillonner sur place. Je sentais à quel point il était énervé après moi mais j’avais fait attention, je savais bien qu’il risquait de me prendre la tête une fois rentrée, mais je pense avoir vraiment sous-estimé la capacité d’énervement du brun. Mais cet après-midi, aussi dangereux soit-il était libérateur. Respirer l’air frais et pollué de Londres, se balader dans les rues en admirant les bâtiments, apercevoir certains monuments. Autant dire que cette sortie valait toutes les engueulades du monde à mes yeux. Je pourrais même recommencer sans le moindre scrupule.
Toute la route se fit en silence alors que nous rentrions en voiture. A croire qu’il avait peur que je me fasse tirer dessus en pleine rue. Enfin, c’était tout à fait possible. Mais j’étais prête à prendre ce risque. N’était-ce pas à moi de décider après tout ? C’était moi la prisonnière finalement alors que j’étais en train d’aider la police à arrêter l’un des plus grands réseaux de drogues d’Irlande, que je leur livrais la tête de l’homme que j’aime sur un plateau.
Je suis l’agent Harrigton avant qu’il ne me laisse entrer la première afin de faire attention à ce que personne ne nous observe. Après presque quinze jours passés avec lui les techniques d’observation n’ont presque plus de secrets pour moi. D’ailleurs je voyais bien qu’il vérifiait chaque entrée possible, fermant la fenêtre par laquelle je m’étais échappée. Quant à moi, j’allais à la cuisine afin de prendre un verre d’eau. La journée s’était très bien passée pourtant à peine la porte passée, des nausées reprenaient le dessus. Un soupir quitta ma poitrine quand il me fit face.
- « Non, je n’ai pas besoin que vous m’engueuliez comme une enfant. J’avais besoin de sortir, je suis sortie, je ne suis pas morte, tout va bien. » fis-je en levant la main pour lui indiquer de me laisser parler. « Je suis désolée que vous vous soyez inquiété mais j’en avais besoin et jamais vous ne m’auriez laissé sortir. » ajoutais-je.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Ven 16 Aoû - 22:40
Franchement je n'en revient pas qu'elle ai osé faire ça. C'est complètement stupide et inconscient d'avoir décidé de nous fausser compagnie de la sorte. Je détestais toujours cet instant de panique qui s’emparait de moi quand je découvrais qu'un témoin c'était fait la malle et ce n'était pas la première fois. A croire qu'ils profitent tous d'un petit moment de faiblesse pour me fausser compagnie. Cette fois-ci je n'étais pas là, mais quand j'ai reçus cet appel radio qui me disait qu'elle était partie, je suis entré dans une colère noire. Alors oui je l'ai engueulé une fois sur place parce que la retrouver nous à prit un temps considérable, à mobilisé un nombre incalculables d'hommes qui avaient autre chose à foutre que de chercher quelqu'un qui voulait juste un peu prendre l'air et qui à fait flipper un paquet de monde.
Alors non je ne parles pas des masses. Je préfère éviter parce que si je me met à parler je risquerai de me mettre dans un état que je préfère éviter. Elle et moi avons avancés dans nos relations. J'ai enfin réussis à la faire parler et à gagner un peu sa confiance et voilà qu'elle vient de trahir la mienne. J'ai tout bonnement horreur de ça. Qu'on se foute de ma gueule alors que je fais tout pour garder quelqu'un en vie et qui sacrifie ma vie pour sauver la sienne .. Une fois entré dans cette maison, je relève la veste que je porte et qui cache donc l'arme que je porte à la ceinture. Inspectant toutes les pièces une à une, la main sur la ceinture juste au cas ou, je constate seulement que la fenêtre de sa chambre est ouverte. Donc elle s'est enfui par là. Et les agents qui la surveillaient n'ont même pas songé à la refermer. J'ai eu quelques nouvelles d'Interpol et les premières arrestations ont eu lieu. Dieu sait ce qu'il pourrait arriver si elle ou l'agent qui la surveille manque de vigilance .. Revenant dans le salon, je l'observe. Elle ne semble pas comprendre la gravité de la situation. Moi je bouillonne. Il aurait put lui arriver n'importe quoi ..
«Vous n'avez pas l'air de comprendre madame. Je vous ai donner ma confiance et vous l'avez trahit. Je vous ai dit que l'équipement allait arrivé, ce n'est plus qu'une question de jour et qu'ensuite vous pourriez sortir. Vous croyez que ça m'amuse de rester entre ces quatre murs pendant que ma femme fait certainement ces cartons ? Non. Alors maintenant c'est simple, je veux vous avoir tout l'temps à l'oeil. »
Me frottant le front, j'étais en train de faire les cents pas. Je reconnais que je ne devrais pas mêler ma femme à tout cette histoire mais c'est sortis tout seul. Je crois que je suis en train d'imploser en réalité et que même si j'ai en partie raisons, elle prend plus qu'elle ne le devrait pour tout ce qui m'arrive. Je dois faire attention, je commence à manquer de sommeil et donc de discernement. J'ai toujours été quelqu'un de très professionnel et je sens que la situation est en train de m'échapper. Si je ne me reprends pas rapidement, je risquerai de partir un peu en vrille plus encore .. J'inspira un grand coup.
«Les arrestations ont commencés. Interpol a actuellement mit la main sur une dizaine d'homme et femme et sont en train de les interroger. C'est encore plus dangereux maintenant pour vous de sortir de là et si vous ne faites pas exactement ce que je vous demande vous pourriez vous retrouver entre quatre planches bien plus vite que ce que vous pensez.» Stoppant mes pas interminables et m'arrêtant devant elle, elle devait comprendre la gravité de son geste. C'était important qu'elle respecte nos engagements.
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Elizabeth Steele
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Ven 16 Aoû - 23:08
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Je serrais mon verre d’eau entre mes doigts. La colère grandissait en moi alors qu’il débitait ses paroels sur moi comme si j’étais la responsable de ses soucis. C’était lui qui avait signé pour ça. Si Interpol voulait vraiment faire attention à moi alors ils auraient placé plus d’homme et ne m’aurait pas foutue entre quatre murs dans une maison trop petite pour avoir deux chambres. Peu importe ce qu’il pourrait dire, rien ne pouvait me calmer à présent. Je n’étais pas sa femme, je n’étais pas mariée avec lui, j’étais juste la fille qu’il devait protéger, la fille qui lui permettait d’avoir un salaire. Il était juste l’homme qui devait m’empêcher de crever mais si c’était ce que je voulais au final ? Vivre enfermée comme ça toute ma vie était insupportable, j’allais devenir complètement folle.
- « Arrêtez. » lâchais-je alors qu’il continuait. « Arrêtez ! » criais-je à nouveau en posant ma main sur mon ventre. « Je ne vous ai rien demandé ! Vous pouvez aller voir votre femme, je vous ai dit que vous n’aviez pas à faire ça ! » lâchais-je en m’appuyant au meuble de la cuisine.
J’avais déjà eus des engueulages. Spencer et moi passions une grosse partie de notre à nous engueuler avant de nous réconcilier sur l’oreiller. Mais avec cet homme, la seule chose que j’avais besoin c’était de le frapper, de lui crier dessus alors qu’il m’accusait de tous ses malheurs. Il avait ce choix pas moi. Il avait décidé de signer ce contrat de protection, moi on ne m’avait pas laissé le choix, c’était ça ou m’enfermer dans une planque sans jamais voir le jour et je refusais de laisser ma liberté. Je refusais d’être comme une prisonnière.
- « Arrêtez avec vos belle paroles ! Vous savez très bien que je ne vous fais pas confiance. Vous voyez en moi une femme faible et inconsciente comme si je ne me rendais pas compte de ce qui se passait, mais au moins j’ai pris une décision pour mon mariage au lieu de me poser milles questions et de passer mon temps avec quelqu’un d’autre en espérant que ma femme serait là à mon retour. » cotinuais-je sous le coup de la colère.
J’allais regretter mes paroles le lendemain, mais je n’aimais pas la façon dont il me parlait. J’étais son témoins protégé, pas son chien. J’étais un être humain, une femme qui avait bien plus conscience que lui de ce que je risquais en dénonçant l’homme que j’aimais.
- « Ne faites pas comme si j’étais une frêle petite fille, je sais parfaitement ce que je risque. Vous êtes des égoïstes, vous dans la police, vous arrêtez petit à petit alors que je vous ai donné toutes les informations nécessaires à leurs arrestations. Ce n’est pas pour moi que vous faites, mais pour votre patron, afin qu’il puisse crier haut et fort combien vous êtes tous fier d’avoir arrêté le plus gros cartel irlandais sans jamais mentionné qu’il y a une femme dont la vie est tombée en lambeaux. Vous êtes des égoïstes. » lâchais-je avant de reprendre mon souffle, à bout de nerfs, sur le point de craquer devant lui. « Et je pense savoir mieux que vous ce que je risque si jamais le gang me retrouve alors cessez de m’engueuler comme si j’étais une gamine. Je ne suis que la fille qui vous permet d’avoir un salaire à la fin du mois. » lâchais-je en serrant mon poing afin de sentir mes ongles s’enfoncer dans ma paume et éviter de craquer face à lui.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Ven 16 Aoû - 23:43
C'était à mon tour d'en prendre pour mon grade et franchement sur ce coup là je l'avais bien mérité. Personne ne m'avait forcé à faire cette mission, ni aucune autre d'ailleurs. Personne ne savait pour mon mariage et donc moi seul était responsable de mon sort actuel. Mais actuellement, je n'étais absolument pas lucide. Pas du tout. Ma femme n'avait toujours répondus à aucun de mes appels ni messages. Deux semaines que je n'avais pas eu un seul message si ce n'est celui de ce matin. Celui qui me sommait de bien vouloir signer ces putains de papier de divorces. Alors oui je suis en train de tout mélanger. Oui je suis en train d'accabler cette pauvre femme qui n'est en rien responsable de la tournure qu'est en train de prendre ma vie maritale. Clairement, cela fait plusieurs nuits que je ne dors que quelques heures et passe le reste du temps à fumer des clopes et regarder la télé en buvant un verre ou deux. Je suis a bout. Moi qui ai pour habitude de tout encaisser la je n'y arrive plus et je sombre peu à peu dans une instabilité qui fait que je n'arrive plus à faire la part des choses.
«Et vous laissez entre les mains de types tels que celui qui vous à laissé sortir aujourd'hui ??! Est-ce que vous croyez vraiment qu'après tant d'années de métier il me suffit simplement de claquer la porte pour vous oublier ? Vous croyez être juste un simple contrat pour moi ? »
Attrapant mon paquet de clope qui trainait sur la table je pris une cigarette avant de le jeter furieusement sur cette même table. Pourtant bien que j'en meurt d'envie je ne vais pas l'allumer ici. Je suis peut-être en train de péter un plombs mais je ne suis pas non plus inconscient au point de fumer en présence d'une femme enceinte. Je l'avais toujours respecté pour cela. Elle ne m'avait même jamais vus boire un verre jusqu'ici parce que je le faisait toujours au milieu de la nuit. Pourtant, là je n'en peu plus, c'est soit une clope et je fume en sa présence ce que je me refuse à faire, soit un verre. Alors je me dirige vers le placard et sort la bouteille ainsi qu'un verre propre. Faisant glisser le verre sur la table j'ouvris nerveusement la bouteille pour m'en servir un verre. Avant de refermer celle-ci et de la remettre à sa place. La cigarette en main je prends le verre et en bois une légère gorgée. Je ne suis pas non plus alcoolique, juste énervé.
«Vous dites ça comme si j'étais en train de tromper ma femme, mais ce que je fais là c'est simplement pour tenter de vous sauver la peau je vous signale. Je m'en balance que vous ne me fassiez pas confiance, que vous croyez savoir comment moi je vous voit et êtes persuadé que le monde entier vous en veut parce qu'aujourd'hui vous avez eu un semblant de conscience pour balancer votre mari après toutes les horreurs qu'il à commises. Vous êtes persuadé de savoir la vision que je peux avoir de vous sans même vous avouer que c'est la vision que vous avez de vous même et ne voulez pas voir que j'essaie de vous aider. »
Je ne mâchais plus mes mots parce que ça y'est elle m'avait énervé. Je suis en train de me battre corps et âme depuis quinze jours à essayer de redonner le sourire à cette femme détruite, à lui raconter ma propre vie personnelle, pour qu'à la finale elle me balance que tous ces efforts que j'ai put faire n'ont servit à rien ? Être persuadé d'être la souffre-douleur d'Interpol alors que cette branche de l'agence est faite pour sauver les gens comme elle qui pensent qu'elles ne sont que des victimes alors qu'elle ont aussi leur part de responsabilités ayant cautionner ces actes criminels pendant tellement d'années .. C'est en train de me rendre furieux.
«Vous êtes là en train de m'insulter moi et mon équipe tout entière, nous qui nous donnons corps et âmes pour vous sortir d'un pétrin dans lequel vous vous êtes fourrés toute seule comme une grande en étant persuadé que si l'on fait ça c'est simplement pour pouvoir se regarder briller comme dans un miroir mais vous ne manquez clairement pas de culot. Je ne dis pas que nous ne serons pas fiers quand votre mari et toute sa bande se retrouvera sous les verrous, mais avec l'Empire que lui à monté avec vous à ses côtés pensez vous qu'arrêter autant de gens se fera sur un claquement de doigts ? Si vous ne représentiez que mon salaire comme vous osez si bien l'insinuer sans rien connaître de mes convictions et ma vocation je vous aurait foutu dans une cage d'Interpol pour que vous soyez sous surveillance sans que je n'ai besoin de bouger mon cul pour vous garder en vie au lieu de me démener pour essayer de vous aider et de vous sortir de là. Au lieu de ça je suis ici, alors certes ce n'est pas le Ritz mais bon on peut dire qu'on y dors pas trop mal, enfin vous en tout cas. J'essaie de me plier en dix pour que madame puisse avoir ses volontés et qu'elle trouve le temps un peu moins long tout ça pour qu'à la finale elle se tire à peine j'ai le dos tourné sans aucun respect pour le travail que nous menons nos hommes et moi et en plus de ça me cracher à la gueule alors que j'ai passé ma vie à sacrifier la mienne parce que protéger les gens comme vous fait partie de ce que je suis. Vous êtes persuadé que je ne suis qu'un connard de plus qui se fou de votre gueule sans imaginer que ce métier puisse faire partie de moi.»
J'ai tout balancé. Tout ce que j'avais. Mais là clairement je sens que ça va tourner vinaigre. Il faut que je sorte et vite. Je suis à un point de non retour qui peut s'avérer extrêmement inconfortable pour l'un comme pour l'autre car je risquerai de sortir des mots dépassant ma pensée. Il faut vite que je fume cette cigarette parce que là clairement sinon je tourne dingue.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Sam 17 Aoû - 0:28
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Cette situation était insoutenable. J’avais le sang qui bouillonnait en moi comme si tout partait en vrille. J’avais mal au ventre, mal au crâne, mon corps me faisait souffrir comme si je venais de courir un marathon et ma tête tournait comme si on l’avait mise dans une centrifugeuse. Je n’avais pas besoin de cet homme. Je n’avais pas besoin de ses reproches. Il savait parfaitement dans quoi il s’engageait avec moi, que je ne serais pas un témoin facile, quinze ans d’horreur cela traumatisait pas mal de monde et sûrement qu’un gars comme lui n’aurait pas fait long feu. Ma paume me faisait souffrir. Je sentais mes ongles passer sous ma peau et s’enfoncer toujours plus forts. La colère me ronge. A cela s’ajoute la fatigue des nuits incomplètes, le stress et la grossesse qui me rend malade et me voilà incontrôlable. Je ne répondis rien cependant, le laissant aller se servir un verre avant qu’il ne continue de déblatérer toutes sortes de conneries.
- « Mais vous ne pouvez pas m’aider ! » criais-je sur le même ton que lui. « Je ne veux pas de votre aide ! Comment faut-il que je vous le dise ? Vous voulez m’aider uniquement pour croire en quelque chose mais ça ne sert à rien, je ne crois plus en rien ! Je vais mourir et ce n’est pas un procès, une couverture, des faux papiers qui vont me permettre de survivre à mon semblant de conscience. Je me prendrais une balle entre les deux yeux un jour, et là, vous ne serez plus là pour m’aider ou me protéger alors cessez de me faire croire que vous comptez m’aider parce que vous ne le pouvez pas. Je suis déjà un pied dans le cercueil ! »
Les paroles acerbes traversaient la pièce comme pour savoir lequel ferait plus de mal à l’autre. La différence était que j’avais l’habitude d’encaisser toutes les méchancetés possibles et inimaginables, mais cela semblait très loin de son cas, bien au contraire d’ailleurs il semblait sur le point de non-retour, complètement dépassé et ayant besoin de son pinard et cigarette pour surmonter ça. Comme tous les hommes qui passaient chez moi auparavant comme le montrait les cicatrices dues à des brûlures de cigarettes. Je me rapprochais de lui alors qu’il continuait de se plaindre, de me reprocher la même chose, de ne pas être reconnaissante envers ce qu’il faisait pour moi. Comment pouvais-je l’être ? Je passais mes journées avec un inconnu qui semblait voir la bouteille facile et complètement déprimé parce qu’il n’arrivait pas à sauver son mariage.
- « Je ne veux pas de votre aide. Surtout pas lorsque vous pensez que je suis aussi coupable que lui de ses crimes. » lâchais-je avant de m’éloigner un peu et de prendre un nouveau verre d’eau, ma gorgée complètement serrée par l’émotion qui me gagnait ou la nausées qui refaisait surface. « Je suis aussi coupable que lui à vos yeux, je me suis laissé berner, je me suis laissé voler ma vie. Je ne veux pas de rédemption, je n’ai pas besoin de vous. Je suis déjà morte, vous ne le voyez pas ? » criais-je à nouveau. « J’ai vus des gars comme vous venir voir mon mari, j’ai vus des flics se moquer de leur job, de corrompre leur serment pour quelques billets. J’ai vus des flics assassiner des hommes et des femmes sur les ordres de mon époux, j’ai vus des flics violer des filles sans le moindre scrupule tout ça parce qu’il portait l’insigne qui le leur permettait. » lâchais-je. « Interpol a assez de nom pour faire tomber l’organisation, mais pas assez pour savoir qui sont les traitres dans leur propre rang. La police profite toujours de ce qu’elle a et vous ne me ferez pas changé d’avis. »
J’étais énervée. Parce qu’il adulait son travail, il adulait la police, ce qu’il faisait, les idéaux qu’il défendait. Mais le pouvoir montait bien vite à la tête et j’étais parfaitement consciente de la corruption au sein de la police. Il ne fallait pas grand-chose pour certain pour décider de se retourner contre leur propre camp.
- « Si vous êtes vraiment un homme de paroles alors arrêtez de vous apitoyer sur votre sort et signez ces papiers. Ayez ce semblant de conscience que j’ai eus. » achevais-je finalement en regardant la fenêtre essayant de trouver un moyen de me calmer.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Sam 17 Aoû - 19:37
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J'étais dans tout mes états, totalement en train de craquer et de perdre mon sang froid ce qui est loin d'être dans mes habitudes, clairement. Perdre les pédales et m'énerver ainsi n'était vraiment pas dans mes habitudes et encore moins me défouler sur un témoin. Habituellement j'avais des nerfs d'acier et avait l'habitude d'encaisser ce genre de crise qui arrive fréquemment au moins une fois par couverture si ce n'est plus. Mais j'étais au bout de ce que je pouvais supporter. Mon divorce, cette couverture qui s'est enchainé beaucoup plus vite que les précédentes, je n'arrivais plus à faire la part des choses. Tout ce que je voulais c'était la protéger et elle n'en faisait qu'à sa tête. Elle est loin d'être la première a avoir ce genre de réaction mais je crois que je ne pouvais pas en supporter plus aujourd'hui. Après tout, je suis un être humain.
«Alors expliquez-moi pour quelle raison vous êtes venus nous trouver si vous ne vouliez pas de notre aide ??!! Je suis désolé mais c'est pas moi qui vous ai prit par la main pour venir témoigner ! Vous croyez vraiment qu'une fois qu'on aura eu ce qu'on voulait on va vous laisser dans la nature comme ça vous démerder toute seule ? Le programme de protection des témoins comprend aussi un après je vous signale !»
Bien sur pour l'après ce n'était pas moi qui m'occupait de protéger ces personnes. Sinon je ne décrocherai jamais et Magda n'aurait jamais attendus dix ans avant de demander le divorce. Mais je sais que les témoins ne sont pas lâchés comme ça sinon autant vous dire que le taux de mortalité de ces pauvres gens atteindrait les 99.9% et donc plus personne ne viendrait dénoncer les malfaiteurs. Ces personnes étaient accompagnées dans la réinsertion, alors bien sur il leur fallait prendre des précautions toute leur vie et Interpol les "pointais" régulièrement pour être sur que rien ne leur était arrivé. Ils avaient un numéro d'urgence, un code de conduite à adopter et une nouvelle identité pour un nouveau départ. Comme partout ce n'était pas à 100% efficace certes mais, Interpol faisait ce qu'il pouvait pour aider ces gens à s'en sortir.
«Et moi j'ai vus des gens; des tas parce que croyez moi je fais ça depuis des dizaines d'années; sortir d'ici avec une nouvelle vie en poche. J'vais pas vous mentir en vous disant que ce sera l'Eldorado ou la vie dont vous avez rêver. Il faudra faire attention. Mais vous serez en vie ! Pour vous et cet enfant qui va avoir besoin de vous. Ces gens se sont reconstruits et se sont adaptés parce qu'ils ne voulaient pas se laisser abattre plus qu'il ne l'étaient par leur bourreaux. Vous devez-y croire sinon ce que je fais ici avec vous ne sert strictement à rien.»
J'étais épuisé par cette dispute. A croire que celle que je n'avais pas eu avec ma femme était en train de se dérouler sous mes yeux avec cette épouse de substitution. Alors oui il avait besoin d'évacuer avec un verre et une cigarette, même si pour ce qui est de la bouteille ce n'était clairement pas dans ses habitudes. Ce boulot c'était toute sa vie et il était autant en train de partir en sucette que son mariage à l'heure actuelle. C'était tout ce qui lui restait à défendre. Alors oui il avait ses idéaux et se battait corps et âme quand il s'agissait de prendre leur défense mais ce métier c'était ce en quoi il avait crut toute sa vie. Sa dernière certitude. Il ne pouvait se résoudre à abandonner celle-ci aussi.
«Vous ne comprenez pas. M'enfin vous savez quoi j'en ai assez. Je suis fatigué de tout ceci. Je ferai ce que je peux pour vous aider que vous le vouliez ou non, que vous me fassiez confiance ou non. Mais dorénavant, je ne vous lâcherai plus d'une semelle. Que ça vous plaise, ou pas. »
Claquant la porte d'entrée, je m’asseya sur les marches pour évacuer toute cette rage et cette colère dans laquelle elle venait de me mettre. Allumant ma cigarette je tira tout de suite une grande bouffée dessus. Mettant ma tête entre mes mains, le regard fixé vers le sol, une boule à la gorge retenant des larmes que je ne voulait laissé sortir. Je bus une gorgée de mon verre qui s’avéra plus longue que prévue avant de contemplé celui-ci et de jeter le restant dans les buissons. Je ne pouvait me résoudre à tomber aussi bas. J' aurait à cet instant bien eu besoin d'une séance de tir pour me défouler. Après avoir fini ma cigarette, j' rentra à nouveau l'intérieur.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Dim 18 Aoû - 22:37
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- « Je ne sais pas pourquoi je suis venue ! » cria-t-elle.
Elizabeth était à bout de tout. A bout de forces, à bout de nerfs. L’impression que son corps allait lâcher à tout moment la prenait de plus en plus. Le manque de sommeil et de forces y étaient pour beaucoup. Même si cette sortie lui avait fait du bien, cette engueulade lui prenait le peu de forces qu’elle avait. Faire semblant, porter un masque était devenue intenable pour elle. La confiance, elle ne l’accordait plus à quiconque, seulement à son enfant, à lui et lui seul. A vrai dire, la blonde n’avait même plus envie de témoigner contre son mari. Cette histoire prenait trop d’ampleur, beaucoup trop pour qu’elle puisse songer à autre chose qu’à ça. Elle ne voulait plus rien d’autre qu’être seule. Ce procès était une erreur. Une erreur qu’elle n’aurait jamais dut faire. Spencer pouvait être violent et complètement fou mais cette vie n’était-elle pas mieux que de vivre avec une cible dans le dos ?
- « Et bien partez ! Laissez-moi me lamenter sur les souvenirs avec mon bourreau et allez sauver quelqu’un qui a plus de volonté que moi ! » hurla-t-elle. « Allez-y puisque ce que vous faites ne sert strictement à rien. Je ne sais même pas pourquoi je suis là. Je n’aurais pas dû venir au poste, tout serait plus simple maintenant. »
Elizabeth avait besoin d’air. Elle se sentait étouffée dans cette maison qui n’était pas la sienne, qui abritait une vie qu’elle ne voulait pas, qui lui donnait l’impression d’être plus loin encore de sa propre vérité. Finalement, elle regrettait son choix et elle sentait qu’elle allait le regretter toute sa vie. Elle avait agi sous l’impulsion de protéger son bébé, de ne pas le voir mourir mais à présent, elle regrettait. La jeune femme se crispa sur son verre quand il tient ses dernières paroles avant de fermer la porte derrière lui. Un cri de rage quitta la gorge de la blonde et le verre traversa la pièce pour s’éclater contre la porte.
Prenant la bouteille d’alcool avec elle et un nouveau verre, Elizabeth sortit dehors dans le jardin, un sanglot coincé dans sa gorge. Elle n’en pouvait déjà plus. Cela faisait à peine quinze jours et elle avait l’impression d’avoir fait la plus grosse connerie de sa vie. Spencer lui manquait terriblement. Sûrement aurait-elle dut lui en parler, lui expliquer ce qui se passait et à quel point elle avait peur. Peut-être qu’il aurait su la rassurer, peut-être qu’il aurait accepté sans problème son envie de ne pas exposer son bébé. Elizabeth regarda le jardin avant de se laisser tomber contre le mur de la maison sans se préoccuper de laisser la fenêtre ouverte ou non. Elle se servit un verre de l’alcool fort que l’Agent Harrigton semblait tant apprécier. Elle prit le verre à la main pour le porter à ses lèvres mais elle s’arrêta. Elle était là pour son enfant. Elle ne pouvait tout détruire pour boire comme elle le faisait pour oublier tout ce qu’on pouvait lui faire au gang. Cette nouvelle vie ne serait plus sous le signe de l’abus.
La première larme roula sur sa joue, la forçant à lever les yeux au ciel pour éviter qu’une autre ne rejoigne la première, mais c’était peine perdue. Ramenant ses jambes contre sa poitrine, elle enfoui son visage dans ses genoux, ses yeux fixant le verre et la bouteille en face d’elle alors que la seule chose qu’elle voulait vraiment à présent c’était en finir définitivement.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Lun 19 Aoû - 17:26
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Alex savait à quoi tout ça rimait. Elle était en panique, encore. Elle était en phase de doute encore. Sauf qu'il n'avait plus la motivation pour essayer de la convaincre. S'en était trop pour lui qui savait que sa petite escapade allait lui couter son mariage parce qu'il avait passé la soirée qu'il avait promit de consacrer à Magda à chercher madame tout ça parce qu'elle ne supportait plus l'endroit qui était censé la garder en vie. Il était terriblement mal, mal au point qu'il avait envie de lui dire d'aller se faire foutre et que si tout ça ne lui plaisait pas elle savait ou se trouvait la porte de sortie. Mais même en étant certain que son mariage était terminé, il ne pouvait se résoudre à faire n'importe quoi avec son travail. Il le perdrait à coup sur s'il venait à faire un truc pareil. Peut-être que cela ferait revenir sa femme, mais il n'était pas prêt à sacrifié sa vocation pour ça. C'est tout de même triste. Il aurait du trouver quelqu'un qui le comprenait, qui avait peut-être un travail semblable au siens. Pas quelqu'un qui avait quitté son pays pour vivre avec lui, avec des horaires de fonctionnaire.
Quand il eu franchit le pas de la porte, il entendis un verre se briser contre celle-ci. Décidément les femmes adoraient jeter des trucs dans sa direction. Il devait véritablement les chercher pour qu'elle en viennent toutes à s'énerver contre lui. Mais non, il faisait juste son métier, même si là il s'en était prit à Elizabeth. Cette femme qui avait trouvé le courage de dénoncer son propre mari pour sauver son enfant et qui mise à part le fait de s'être sauvé au dernier moment et donc d'avoir gâché la soirée d'Alex, ne méritait clairement pas les foudres qu'il était en train de lui adresser. Elle avait besoin de quelqu'un pour la guider et lui ne faisait que l'enfoncer d'avantage dans ses craintes et ses doutes.
Après avoir donc fumé sa cigarette et bus la moitié de son verre il rentra à l'intérieur de la maison. Il ne la trouvait plus et il se demandait s'il ne devait pas en avoir rien à faire. Cependant il était en train d'essayer de reprendre ses esprits. Il avait besoin de craqué certainement pour passer à autre chose, mais il n'y arrivait clairement pas. Peut-être ne réalisait-il pas encore totalement ? Il chercha pièce par pièce ou elle pouvait se trouver et commença à paniquer en trouvant toutes les pièces vides. Il songea tout de même à surveiller le jardin, quand son portable personnel se mit à vibrer. Un texto apparaissait de Magda. Signe les papiers. Était tout ce qui était inscrit. A son tour il s'énerva en jetant justement son mobile contre le mur le brisant par la même occasion. Il sortit, trouvant la jeune femme avec sa bouteille, qu'il récupéra. Lui qui avait décider de ne pas se laisser sombrer allait peut-être revenir sur sa décision. Choppant la bouteille au pieds d'Elizabeth, il dit.«J'veux vous voir à l'intérieur.» D'un ton sec et plus que glacial. Finalement il ne lui adressa même pas un regard, et rentra le premier à l'intérieur, si elle ne le suivait pas, il la ferait rentré de force. Après tout elle avait assez prit l'air pour la journée.
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Elizabeth Steele
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Lun 19 Aoû - 20:42
I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me
Elizabeth & Alexander
Août 2019, maison d'Alexander & Elizabeth,
Elle sentait les larmes couler comme cela ne lui était jamais arrivé auparavant. La blonde avait passé de nombreuses années à repousser ses sanglots, les larmes qui menaçaient de couler, transformant tout cela en force pour pouvoir avancer. Mais à présent, elle n’en avait plus. Plus maintenant. Elle arrivait à peine à comprendre ce qu’elle devait faire ou ne pas faire. Elle était parfaitement capable de tenir face à un membre du gang mais à présent, face à cet inconnu qui se prétendait tout savoir sur elle parce qu’il avait lu un fichu dossier où elle s’était contentée de dire ce qu’elle voulait. Il pouvait dire ce qu’il voulait, penser ce qu’il voulait, plus jamais il n’aura la moindre information sur elle. Plus jamais. Son verre se perdait dans le liquide ambré se trouvant dans le verre. Elle n’avait aucune idée de ce qu’elle pouvait faire à présent. L’envie de le prendre et de sentir sa gorge la brûler était tentant mais si elle était là, c’était aussi pour son bébé et elle risquait de le tuer à boire de l’alcool à la première difficulté à surmonter.
Un pas puis deux se firent entendre dans son dos et elle ne bougea pas alors que l’agent d’Interpol venait récupérer la bouteille. Elle ne bougea pas alors que sa main passait devant elle pour attraper le goulot. Elle ne fit rien quand il lui ordonna de rentrer comme si elle était une gamine. A cet instant, la seule chose qu’elle avait envie de faire était de partir, se d’enfuir et cette fois, il ne la retrouverait pas. Elle avait assez de ressources et d’expériences pour ça. Le temps passa. Elizabeth ne savait pas combien de temps elle resta dehors alors qu’il venait de lui ordonner de rentrer. Elle chassa les dernières larmes et traces de ses sanglots avant de se relever. Entrant dans la maison à nouveau, elle vit sans problème le téléphone contre le mur et la bouteille qu’il avait posé devant lui.
- « J’espère que personne ne va essayer de me tuer puisque mon agent semble avoir décidé de se bourrer la gueule et a détruit son téléphone. » lâcha-t-elle en avançant vers sa chambre. « Evitez de vomir dans le salon. » fit-elle sévèrement avant de s’enfermer dans sa chambre pour se changer et se mettre sous la couette.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander Mar 20 Aoû - 11:32
I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me
Il le savait. Il ne pourrait pas si libérer pour sauver son mariage. Même s'il avait négocier quelques soirée par-ci par-là avec son chef afin de pouvoir éviter le divorce il savait qu'il ne lui pardonnerait pas de s'absenter ce soir. Il pourrait y perdre son travail. Assis dans le canapé, devant la télé, accouché sur ses propres genoux, la tête entre ses mains, il les fit glisser derrière sa nuque. Il essayerai encore de trouver une solution, il devait en trouver une parce qu'il ne pouvait se résoudre à divorcer. Mais malheureusement pour lui, il n'y en avait plus, il ne pourrait plus sauver son mariage et sa femme fermerait la porte à toute discussion de toute façon. Jouant nerveusement avec son paquet, il se demandait comment il avait put en arriver là, au point de ne pas vouloir sacrifier son travail mais son mariage. Heureusement qu'il ne l'a pas écouté et qu'il ne lui a pas fait d'enfant, il manquerait plus qu'il y ai un bambin au milieu de tout ça.
Mais quand elle rentra, elle qu'elle lui balança ces horreurs à la figure, comme s'il n'était qu'un vulgaire alcoolique et incompétent par dessus le marché, s'en était trop. Il venait de dire adieu à une partie de sa vie ce n'était pas pour se faire juger sur la deuxième. Il n'arrivait plus à résonner correctement et son sang ne fit qu'un tour. Se précipitant dans la chambre de sa témoin, il se positionna au dessus d'elle. «Avez vous la moindre idée de ce que votre petite escapade est en train de me coûter ? Avez-vous la moindre idée de tout ce que je suis en train de sacrifier pour protéger les gens comme vous ? Vous ne me connaissez pas, vous ne savez rien de ma vie, alors je ne vous permet pas de me juger ainsi.» Il avait les yeux embrumés par la colère et le chagrin, mais se refusait de craquer devant elle. Se rendant compte de ce qu'il était en train de faire, il se releva, repartant en direction du salon, il donna au passage un énorme coup de poing dans la porte, il avait besoin de passer ses nerfs. Ne prenant même pas la peine de la fermer de toute façon il voulait entendre ce qu'il se passait là-bas. Il se laissa tomber tête la première dans le canapé. Il aurait eu envie de hurler, de frapper, comme un gamin. Il avait besoin de défouler toute sa souffrance, mais elle ne voulait pas sortir.
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Sujet: Re: I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander
I know that you're right but I hate you for all the things you decide for me | Alexander