(Charly) les flammes dans les yeux

Dure journée à la librairie aujourd'hui. Il y'a des jours ainsi ou tu voudrais rester chez toi, sous ta couette à regarder des films avec l'homme de ta vie. Dans ta voiture tu regardais la bague qui ornait ton doigt depuis des années. La sensation était toujours la même, tu étais fière d'être sa femme. Doucement tu garas ta voiture et composas le numéro de la nounou, il fallait absolument que ce soir elle soit libre, tu avais envie de passer une journée avec lui et seulement lui. Lui expliquant la chose, elle accepta d'aller chercher Nolan ce soir à l'école. Un soulagement se fit entendre dans ta voix et tu raccrochas. Cette nounou était parfaite, tu avais bien fait attention que cela ne soit pas une jeunette pour ne pas qu'elle s'amuse à draguer Charly quand tu n'étais pas là. Jalouse ? Tu pouvais l'être, tu n'avais pas spécialement confiance en toi, même si tu arrivais à parfaitement le cacher derrière des grands et magnifiques sourires.

Tu redémarras la voiture pour t'arrêter dans votre restaurant préféré et tu pris deux plats à emporter, le dessert tu allais le faire toi même, tu n'avais plus cuisiner depuis longtemps et ce soir tu voulais lui faire plaisir. Remontant dans la voiture tu regardas ton téléphone, un sms de ton grand frère qui annonçait qu'il venait à Londres demain. Un sourire se dessina sur ton doux visage, il te manquait terriblement et le voir allait te faire le plus grand bien. Votre maison n'était plus très loin ,tu espérais juste qu'il ne soit pas encore rentré pour pouvoir préparer la surprise avec soin.

Mettant les plats au frigo tu commancas à faire le dessert avec la musique à fond, tu ne pouvais rien faire sans musique, le silence tu n’aimais pas vraiment cela. 2 heures plus tard tout était enfin prête, il manquait plus que toi, tu pris rapidement une douche et enfila une robe rouge celle qu’il adorait. Tu mis à tes pieds des talons et laissas tes long cheveux blonds détachés. Les clés dans la porte te fis sursauter, tu terminas rapidement ton maquillage sans trop en faire. Sourire sur le visage tu descendis les escaliers et t'approchas de lui “Bonsoir Monsieur Langston”. T’approchant doucement de lui pour poser tes lèvres sur les siennes “Vous avez l’air choqué”. Dis-tu en rigolant et retournant doucement vers la cuisine, le laissant sur sa faim

@Charly Langston :keur:

La journée à été assez longue. J’ai eus pas mal de boulot à la concession et j’ai eus un appel de la part de ma mère. Celle-ci m’a donner rendez-vous dans un petit village à quelques kilomètres de la ville. J’accepta la proposition, après tout j’avais envie de la voir. Nous avons pas mal de choses à rattraper tous les deux. Je quitta le boulot en milieu d’après-midi pour rejoindre ma mère. Je l’ai rejoins dans le petit café du village. Cela m’a permis de lui expliquer ma rencontre avec Blight. Mon père. Ainsi que de notre installation dans une jolie maison de Westminster. Nous avons longtemps discuter l’un et l’autre. De tout et de rien. Lorsqu’il fut temps de nous séparer, ce fut le cœur lourd. J’aimerais tellement qu’elle puisse venir chez moi, pour voir ma maison, ma femme, mon fils et même Maia… Ma sœur a le droit de savoir que notre mère et encore vivante. Pourtant, c’est trop compliqué, trop risqué pour elle. Surtout que la « copine » de mon père vit juste en face de chez moi. D’ailleurs, c’est même étrange que mon père n’est pas compris que je vis là. Enfin, ce n’est pas plus mal pour moi. Cela me permet d’apprendre à connaitre Elsa.

Lorsque j’arrive devant ma maison. Je stationne ma mustang devant, attrape un petit sachet que ma mère m’a donner pour Hela. Il s’agit d’un collier, un collier qu’elle a acheter à mon épouse car d’après ma mère, il reflète la personnalité d’Hela. Enfin, ma femme sera heureuse. Je m’en veux de lui imposé ce secret, mais depuis le retour de ma mère dans nos vies, Hela est d’un soutien sans faille. Je rentre dans la maison, dépose mes affaires dans l’entrée. Et sans mit attendre, je vois mon épouse apparaitre face à moi, dans cette robe que j’aime tellement. Elle est superbe dans celle-ci. Je souris avant de répondre à son baiser. « Bonsoir Madame Langston. » Ma main vient caresser sa nuque, tandis que l’autre se pose dans le creux de son dos pour la rapprocher de moi. « Je m’attendais à me faire sauter dessus par Nolan. Qu’est ce que tu as fait de notre fils ? Tu l’a revendu ? » Demandai-je en plaisantant. « Tu est superbe ce soir, bébé. » Je viens déposer à nouveau mes lèvres contre les siennes.

Heureuse de le voir tu l'étais. L'impression de le découvrir jours après jours. Tu n'étais pas ce genre de femme qui une fois mariée ne faisait plus rien pour entretenir la flamme, non c'était même le contraire. Les petits cadeaux étaient quelque chose d'important pour toi. L'embrassans tendrement tu rigolas de plus belle en le regardant dans les yeux "J'en pouvais plus, il n'était pas comme je voulais ! Un homme m'a proposé 4000 dollars j'ai dis oui". Ton fils, celui que tu aimais d'un amour infini, pour qui tu étais prête à tout, comme ce jour ou une gamine l'avait fait chier car il portait du rose. Sans attendre de réponses de l'école, tu étais allée devant et avait foutu la honte à cette môme. Tu n'étais jamais violente mais quand cela touchait ta famille, tu pouvais devenir une vraie furie. Faire cette blague te faisais rire, même si jamais tu pouvais imaginer cela. L'embrassant tendrement tu l'aidas à retirer sa veste dans un sourire "C'est que le début de la soirée". Tu lui attrapas doucement la main, pour aller dans le salon et prendre place sur le canapé, deux verres de vin étaient déposés sur la table basse, tu attrapas le tient et le leva dans sa direction pour trinquer avec lui avec un grand sourire "A notre soirée". Tu espérais que rien ne puisse vous embêter, que rien ne pouvait tuer cette soirée

Tu déposas ton verre sur la table, et passas une main dans tes cheveux, en regardant ton mari "Comment c'est passé ta journée?". Un sourire doux vint se poser sur tes lèvres tandis que ta main gauche attrapa la sienne pour jouer avec ses doigts, tu ne pouvais pas rester sans le toucher, tu avais besoin de ce contact pour te sentir vivante et femme. Retirant tes talons pour être libre tu poussas un soupir de soulagement, les talons étaient beaux et cela te tuaient le pieds. Tu levas les yeux vers l'horloge pour ne pas faire brûler les plats.

@Charly Langston

Une fois à la maison, je commence à me mettre à l’aise. Mon épouse débarque. En général, c’est Nolan qui arrive en premier pour me sauter dessus. Je ris doucement à ce qu’elle m’annonce. Je sais très bien que c’est faux ! Hela ne pourra jamais se séparer de notre fils. Je grimace légèrement : « Je crois que l’on m’aurait proposer 500 Dollar, je n’aurais pas dis non. Nous avons fait un monstre ! Il était temps qu’on le change. » Depuis quelques temps, je caresse l’idée d’avoir un deuxième enfant. Pour le moment, j’en avais pas discuter avec ma femme. Je veux que l’on continue de profiter de notre fils. Je réponds à ton baiser, la soirée n’est rien qu’à nous. Et je compte bien en profiter un maximum. Elle retire ma veste et je retire mes chaussures avant de refermer ma main contre la tienne. Une fois dans notre salon, je m’installe à ses côtés, je prends le verre que tu me propose et boit un coup avant de te dire : « A nous ! » Mon regard se plonge sur elle. Hela est toujours aussi belle qu’à notre première rencontre. Enfin même plus.

Ma journée ? Je soupire avant de boire à nouveau. « Longue. Je ne sais pas pourquoi, mais les clients se sont déchainé aujourd’hui. Et j’ai dû partir en avance. Ma mère, m’a demander de venir la rejoindre à quelques kilomètres de Londres, dans un charmant petit village. » Hela joue avec mes doigts. Mon regard se pose sur nos mains. Entre nous, ca toujours était ainsi. Nous sommes toujours entrain d’entretenir cette flamme qui brule l’un pour l’autre. « Peut-être qu’on pourra partir un petit week-end là-haut ? Histoire que l’on se retrouve un peu plus longtemps que nous deux. Je pourrais demander à Maia de garder Nolan. Elle sera heureuse d’avoir son neveu avec elle. » Je lui adresse un tendre sourire. Puis, je viens à prendre le petit pendentif que ma mère m’a donner pour ma femme : « D’ailleurs.. C’est de la part de ma mère. D’après elle.. Cela reflète ta personnalité. » Il s’agit un petit diamant en forme d’étoile d’un bleu très pale qui brille aux éclats.

J’hausse les épaules avec un franc sourire. « On serait peut-être mais on pourrait partir à l’aventure ! » Jamais, je serais capable d’abandonner mon fils. Mon père lui l’a fait avec moi, au moment om j’avais le plus besoin de lui. Moi, je ne suis pas le même homme que lui. Enfin je ne l’espère pas. Je réponds à ton baiser, te serrant un peu plus contre moi. Comme si cela faisait des jours que je n’avais pas plus le faire. « Okey ! Donc, je crois que nous n’avons pas de temps à perdre. » Lançai-je avec un doux sourire. Nolan aurait pu rester avec la nourrice cette nuit, mais je sais très bien a quel point tu as du mal de le savoir loin de nous.

Dans le salon, je te parle de ma journée, de ma mère et de tout ce qui fait à présent ma vie. « C’est ça ! Enfin ton père m’a confié la tête de la concession car il savait très bien que j’ai les épaule pour. Mais, je crois que je vais finir par en tuer quelque uns. » Non pas que je n’ai pas un minimum de patience. Pour le moment, tout fonctionne plutôt bien au boulot et les ventes vont de bon trains. « Elle vas bien. Elle avait juste envie de voir son fils. Et elle voulait savoir comment ce passer notre emménagement à Londres. » Je lui ai aussi parler de mon père, mais ça.. Je préfère ne pas remettre le sujet sur la table. Du moins, pas ce soir. « Et toi ta journée, bébé ? » Lorsque je te propose un petit week-end en amoureux. Ce que tu me réponds me donne envie de rire. Bien qu’un brin jaloux, je te réponds : « Hm. Au pire reste avec ton Jonathan. Mais, lui ne connait pas ce que toi tu aimes. » En même temps, je te connais sur le bout des doigts. Et je sais très bien que tu me raconte des conneries. Mais je ne peux pas m’empêcher de répondre de la sorte. Je finis par te donner le cadeau que m’a mère t’a fait. Un petit médaillon, qui t’ira surement à merveille. Je sais très bien que tu n’aime pas spécialement le cadeau. Mais je ne pouvais pas lui dire non. Je ne voulais pas qu’elle le prenne mal. « J’en ai aucune idée. Tu lui demandera la prochaine fois que tu l’a verra. Mais je pense qu’elle avait envie de te faire un petit cadeau car elle en avait envie. Tu sais.. Ca ne dois pas être évident pour elle tout ce merdier. Maia n’était même pas au courant qu’elle est vivante. Blight, encore moins.. Elle n’a que nous. »

Ma mère à toujours été comme ça. Elle offre sans demander en retour. Je viens à terminé mon verre et je le pose sur la table. « Je vais te le mettre, tourne toi. » Une fois de dos, je passe le médaillon autour de ton cou. Je l’attache et mes lèvres viennent délicatement se déposer contre ta peau douce et délicatement parfumé. Je m’attarde un peu dessus avant de remonter mes lèvres contre ta mâchoire.

Les moment passés avec ton mari était les meilleurs, tu donnerais tout pour que le temps s'arrête et que tu puisses vivre ce moment autant de fois que tu le voulais "Partir a l'aventure avec toi, hum tu me vends tu rêve". Un grand sourire se dessina sur ton visage, oui pour lui tu étais prête à tout et bien plus encore. Oh non pas une seconde à perdre avant que la tornade ne revienne à la maison, s'accroche à toi pour tout te raconter pour ensuite courir vers son père et lui raconter la même chose. Mon dieu il te manquait et pourtant ce soir tu étais heureuse de n'être qu'avec Charly.

Ton père avait une confiance aveugle en Charly, il savait qu'il pouvait tout faire sans jamais le décevoir, tu le regardas dans les yeux "Vraiment ? Je devrais aller te voir derrière les barreaux ! Remarque cela pourrait être sexy à raconter". Tu rigolais jamais tu pourrais imaginer ta vie sans Charly surtout en prison. Tu poussas un long soupir avant de regarder vers le ciel "Tu te souviens de Mike . Le stagiaire que j'ai engagé, il ne fait que des conneries, la première cela allait, mais la il a commandé 50 cartons du même livres, alors que c'était 15". Attrapant ton verre de vin tu continuas Je vais faire comment pour écouler 50 cartons où dedans tu as pas moins de 200 livres? Je crois que c'est moi qui vais finalement être sexy dans une combinaison orange". Tu ne pourrais pas tuer quelqu'un enfin sauf si il continue ainsi, tu es trop gentil pour le virer ce môme. Tu explosas de rire en regardant Charly "Cela pourrait me faire du changement". En finissant ta phrase tu l'embrassas tendrement, jamais tu pourrais lui faire du mal. Tu te décollas doucement de lui et regardas la collier tout en l'écoutant "Je comprends, je l’appellerais demain pour la remercier". Oui tu le ferais car tu étais quelqu'un de polie, tu adorais faire des cadeaux aux gens mais jamais en recevoir.

Tu te tournas et sentis les lèvres de ton mari sur ton corps, des frissons se mit à parcourirent ton corps, tu te retournas et l'embrassas avec plus de passion que tout à l'heure et tu passas délicatement tes mains sous son haut, tu avais l'impression de toujours le découvrir, d'être cette gamine qui tombait amoureuse de lui. Tu lui enlevas son haut avec un grand sourire charmeur et joueur et embrassas doucement son torses

@Charly Langston